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Messages : 113 Date d'inscription : 07/01/2009

BaronSengir a écrit:: Snell dit :
*se fait trainer par la main par Armoria jusqu'à l'église*

Armoria de Mortain dit :
*le traîne effectivement par la main, l'air résolu*
*parcourt l'église jusqu'à trouver le blond clerc, un peu comme on fait une livraison*
Mon père, Snell ,Snell, le prêtre de Dijon... Je vous laisse, j'irai me recueillir un peu plus loin.
*les plante là, l'un face à l'autre, sans autre forme de cérémonie*

Baron Sengir dit :
* salue la princesse et regarde le nouvel arrivant *
le bon jour mon fils

Snell dit :
Bonjour mon père... je suis Snell du Quai Baudon, l'infâme Borgne de Bourgogne

Baron Sengir dit :
l'infame?

Snell dit :
si, si... infâme... pénitence pour des péchés passés
*lance un petit regard à Armoria* ... et parlant de péchés, je viens pour me confesser.

Baron Sengir dit :
bien. suivez moi en ce cas
* commence à se diriger vers le confessionnal puis s'arreste d'un coup*
vous estes dument baptisé dans la religion aristotélicienne n'est ce pas?

Snell dit :
*commence à le suivre et s'arrête de justesse pour éviter la collision*
Oui, oui... marié et veuf, même

Baron Sengir dit :
en ce cas, prenez place
*dévoile la tenture devant le confessionnal et ouvre les portes de chaque costé

Snell dit :
J'ai aussi mené une armée lors d'une croisade contre les hérétiques... cela compense pour des péchés?
*dit cela en prenant place*

Baron Sengir dit :
nous verrons bien mon enfant
bien, sachez que ce qui se dira icelieu n'en sortira pas
seul le très haut, et moi mesme, entendrons votre confession

Snell dit :
Entendu... ce n'est pas ma première confession, comme j'ai dit je me présente comme infâme comme pénitence, mais cela fait quand même plus d'un an depuis ma dernière confession

Baron Sengir dit :
ceci est entendu. je vous ouïrai donc à propos des péchés commis depuis lors. et je ferai par suite le point sur vos confessions passées, afin de voir si certains ne sont pas passés au travers...
*met en place son petit coussin, ne sachant combien de temps cela durerait*
aussi, parle sans crainte, je t'écoute

Snell dit :
Bon... euh, bonne nouvelle en commençant, je n'ai tué personne depuis un an... alors voilà pour ça... par contre, j'ai péché par orgueil en faisant un mandat de trop au duché... je n'ai pas failli à mon devoir comme tel, mais je sais que j'aurais pu faire mieux. En fin de compte, j'ai placé ma soif de pouvoir devant l'intérêt de mon duché bien-aimé. Je regrette.

Baron Sengir dit :
oui, expliquez moi cela. dites m'en plus sur cette soif de pouvoir qui vous a envahi, et ce que vous avez fait à l'encontre du duché en ce faisant

Snell dit :
euh... hé bien, je venais de terminer un mandat au conseil où je me suis retrouvé régent malgré moi. Je ne voulais pas me présenter aux prochaines élections, le désir de servir me manquant, mais mes copains de liste m'ont convaincu de me présenter en deuxième. Aussi, j'avoue que je me suis laissé tenté avec la possibilité d'ajouter un autre mandat sur une future patente de noblesse.
ENfin, la tête de liste est morte avant l'élection et je me suis retrouvé tête de liste, puis Général. J'ai fait mon devoir, assumant même la défense du duché en l'absence de la duchesse, mais je l'ai fait sans enthousiasme et je sais que j'Aurais pu faire mieux.

Baron Sengir dit :
*note dans sa teste pour la pénitence à venir, orgueil...*
bien je le conçois
quelle est votre actuelle position sur vos titres? en avez-vous assez, en recherchez vous en plus?

Snell dit :
Je reviens d'une retraite de deux mois, passée en prière pour une autre pénitence, je vous en reparlerai de cela, et pour me recentrer sur moi-même.
Je suis donc revenu, sans ambition.
La politique, c'est terminé pour moi
Je ne demande rien en frais de titre non plus.

Baron Sengir dit :
et comment escomptez vous vivre à présent?

Snell dit :
ma position actuelle est Seigneur de Moulins-Engilbert, vassal du duc de Corbigny, Erikdejosseliniere.
Pour l'instant, avec la guerre qui s'en vient, je crois bien vivre en faisant ce que je fais le mieux.
Guerroyer.
Au service de mon duché bien-aimé, contre les hérétiques et les ennemis du Roy.

Baron Sengir dit :
fort bien, c'est noble de cause de servir l'ordre établi par son aristotélicienne majesté et de défendre la vraie foy
depuis votre confession passée, autres péchés vous pèsent?

Snell dit :
euh... oui... la luxure
J'ai été... um... intime avec une femme alors qu'elle était mariée à un autre homme

Baron Sengir dit :
adultère et luxure, eh bien eh bien
dites m en donc plus

[color=blue]Snell dit :
eh bien, vous le savez déjà je crois. Il s'agit de la dame qui me mena ici, la Princesse Armoria, qui fut mariée avec le fils du... ahem... du Roy...
Snell dit : Je l'aime plus que tout, mais je sais bien que nous avons violé les liens sacrés de son mariage, et je regrette.

Baron Sengir dit :
ohh?
*se dit que la princesse ne lui a donc tout dit...*
depuis quand cela dure t-il?

[color=blue]Snell dit :
depuis la guerre de Bretagne... donc... euh... *compte sur ses doigts* Deux ans?

Baron Sengir dit :
y a t-il eu confession à ce sujet?

Snell dit :
Je me suis confessé d'avoir été infidèle à ma femme avant sa mort, et j'ai fait pénitence, mais je ne me suis pas confessé d'avoir violé un autre mariage.

Baron Sengir dit :
pourquoi donc ne pas vous estre confessé de ceci?

Snell dit :
Eh bien... je croyais que puisque ma femme était décédé, je n'étais plus dans le péché, puisque j'aime cette femme. Or aujourd'hui elle m'a expliqué que c'était péché puisqu'elle, elle était mariée.
Est-ce bien cela?

Baron Sengir dit :
il y a du vrai, mais aussi de l'inexact

Snell dit :
Ah? *fronce les sourcils*

Baron Sengir dit :
la princesse croyait des choses... mais elle avait tort et je lui ai montré vérité
est luxure, est péché, est vice tout acte de chair, toute fornication, en dehors du mariage. adultère en est circonstance aggravante, amour sincère ressenti circonstance atténuante. mais toute galipette entre non époux est considéré comme péché. voilà la vérité
*fixe le borgne au travers de la grille*

Snell dit :
Hm... lorsque vous dites 'en dehors du mariage', vous voulez bien dire que les participants ne doivent pas être mariés à d'autres, c'est bien cela?

Baron Sengir dit :
ne jouons sur les mots. les... fornicateurs * il aimait ce mot, cela culpabilisait les pénitents* doivent estre mariés entre eux. celui qui s'adonne à la luxure s'amuse dans le foin avec autre que son épouse légitime devant le Très Haut.

Snell dit :
Ohlà! Mais... mais... Armoria est deux fois Princesse, Duchesse et Baronne... et bru du Roy par surcroit! Le mariage est impossible entre nous!
Me dites-vous qu'on ne peut plus vivre notre amour?

Baron Sengir dit :
impossible parce que princesse? ou parce qu'elle est plus titrée?

Snell dit :
Parce qu'une personne aussi titrée qu'elle ne peut marier un petit seigneur presque roturier! C'est évident!
Il y a des règles pour cela

Baron Sengir dit :
je ne suis au courant d'une interdiction dans les textes. seul le regard de certains devrait vous toucher. nous en parlerons en fin de confession
avant cela, reconnaissez vous avec sincérité avoir péché?

Snell dit :
Hé bien... selon ce que vous me dites... oui... oui, j'ai péché... *est abasourdi* mais je ne vois pas comment je pourrais ne pas répéter ce péché. Un seul touché de sa part.... pire, un seul regard de ses yeux verts suffit à embraser ma passion! Jamais je ne pourrais lui résister!
Jamais je pourrais me retenir!

Baron Sengir dit :
il vous faudra faire preuve de retenue pourtant
malgré tout...
*air énigmatique*
comme je le dis auparavant à votre vanillée, jamais est un mot trop contraignant
nous parlerons de ce qu'il y aura à faire après. pour le moment, confesse toi mon fils
avoues tu avoir péché par luxure, et de plus par adultère?

Snell dit :
*se prend la tête dans les mains* Oui, je l'avoue.

Baron Sengir dit :
fort bien.
l adultère fut il doublé? y a t-il eu tromperie simultanée des époux correspondants?

Snell dit :
euh... bah, tromperie par le prince? Je l'ignore, mais il était fourbe au point où je n'en serais pas surpris. Par contre, je ne m'intéresse pas vraiment aux ragots de ce genre.

Baron Sengir dit :
non point, je ne parlais pas du prince. je note que vous ne l'aimiez guère. je reformule
avez vous péché avec la princesse pendant que chacun de vous deux était marié? ou étiez vous déjà veuf?

Snell dit :
Ah! Euh... non, j'étais encore marié, mais mon épouse a été emportée par la maladie avant mon retour de bretagne. Paix ait son âme... je l'ai peut-être trompée en fin de mariage, mais je l'aimais sincèrement.

Baron Sengir dit :
autre question sur les mesmes faits. il convient de cerner au mieux le péché commis, afin que confession soit pleine et entière. aimiez-vous dès le départ la princesse, tout comme votre défunte femme, ou y a t-il eu temps de luxure sans sentiments?

Snell dit :
Depuis longtemps, très longtemps, bien avant la guerre de Bretagne, mon coeur a été partagé entre trois femmes. Ne pouvant marier trois femmes, j'ai épousé la première, suis devenu parrain de la seconde et ami de la dernière, qui de toute façon était mariée à un autre. Lors de la guerre de Bretagne, j'ai retrouvé cette troisième et mon amour s'est enflammé...
alors oui, je l'aimais déjà à cette époque
je ne sais si c'est très aristotélicien d'aimer ainsi trois femmes, mais je ne peux nier mon coeur.

Baron Sengir dit :
l'amour est sens de la vie, mesme si le Livre parle d'un amour plus général... si nulles pensées impures mais sincères sentiments furent en vous, il n'y a rien à reprocher. et la seconde, devint-elle intime également?

Snell dit :
*est heureux que la grille cache, partiellement du moins, le rouge qui envahit son visage*
Ma très chère filleule Amandine... oui, nous fument intimes aussi. Une fois. Avant mon départ pour la Bretagne. Je m'en suis déjà confessé.

Baron Sengir dit :
*note qu'une pénitence en moins sera à effectuer*
fort bien, nous n'en parlerons donc plus. j'aimerais revenir sur un point
vous étiez bien épris d'armoria avant son mariage? était ce lorsqu'elle était encore épouse de son prime époux, ou dans sa période de célibat?

Snell dit :
Lorsque je l'ai connu, elle était mariée à son premier époux.

Baron Sengir dit :
aviez vous ressentiment ou jalousie envers lui? voire de la colère?

Snell dit :
Pas du tout! C'était un ami! À cette époque, j'étais résigné à ce que mon amour demeure secret et platonique. Il faut dire que je n'ai pas eu d'occasion de tentation, non plus.
Et mes sentiments n'étaient pas réciproqué par Armoria à cette époque, non plus.

Baron Sengir dit :
fort bien. et maintenant, mesme question à propos du prince. j'ai cru entendre que vous ne l'appréciiez

Snell dit :
En effet. Au début de ma liaison avec Armoria, je ne le connaissais point. En fait, la première fois que je l'ai rencontré fut environ un an plus tard lors de la Tournée Royale... il avait fait une scène d'ivresse disgracieuse devant son père...
mon opinion de lui fut piètre depuis
ensuite il suivit la Tournée avec une armée, de manière menaçante... et puis après la naissance d'Aimée, j'avoue avoir eu des envie de le tuer moi-même
Pour m'assurer la protection de la petite, vous comprenez

Baron Sengir dit :
aimée... leur fille je suppute? elle m'a parlé de ses enfants mais pas de leurs noms
et que ressentistes vous à sa disparition? joie, soulagement?

Snell dit :
*se mord les lèvres d'avoir parlé d'Aimée... heureusement le père ignorait que le Prince et la Princesse n'eurent qu'un fils* Euh... oui... euh... du soulagement, surtout.

Baron Sengir dit :
et fustes vous envieux parce qu'il était l'époux de la princesse? en seriez vous arrivé à passer à l'acte s'il n'avait disparu?

Snell dit :
N'ayant pas la position pour prétendre épouser une princesse et Grand Maitre de France, je ne gagnais rien en le tuant. Je n'aurais rien fait à moins qu'il n'ait menacé Armoria ou Ai... enfin, Armoria.

Baron Sengir dit :
menacé sa propre fille? Je ne ccomprends pourquoi il l'aurait fait. Bien, tout cela est bien noté
*réfléchit quelques instants* y a t-il autres péchés qui n'auraient été confessés auparavant?

Snell dit :
um... *réfléchit* Non, je ne crois pas... par contre, il y a une pénitence que je n'ai jamais reçu et que j'ai dû m'imposer à moi-même.
donc, faute confessée, mais pas de pénitence officielle

Baron Sengir dit :
ah? puis je savoir?

Snell dit :
Eh bien... voyez-vous, j'ai été reconnu coupable par le tribunal de l'Inquisition d'avoir tué quelqu'un lors de la trêve de Pâques avec mon armée... faute que j'ai avoué d'emblée, que je n'ai jamais cherché à cacher... mais bon, le tribunal ne m'a jamais donné de pénitence
Je me suis donc imposé deux mois de prière dans un monastère... vous croyez que cela suffit?

Baron Sengir dit :
c'est bonne chose. mais l'on peut toujours ajouter un petit plus. j'en parlerai ci après. c'est donc tout?

Snell dit :
oui, c'est tout

Baron Sengir dit :
y a t-il eu par le passé autres péchés de luxure comme je l'ai défini? mesme par amour

Snell dit :
il y a eu des péchés de luxure avec d'autres femmes, mais sans amour... et je m'en suis déjà confessé.

Baron Sengir dit :
bon, aussi n'en parlons plus
*s'éclaircit la gorge*
mon fils, tu t'es rendu coupable d'orgueuil, assoiffé de pouvoir et de titres, avide de renommée sans penser au bien de tous
tu as commis péché de luxure avec armoria, et ce faisant commis double adultère
tu as caché des péchés lors de ta précédente confession, sachant que le très haut savait que tu taisais ces vices
tu as eu colère envers le prince, pensées meurtrières pour un autre enfant du très haut, qui plus est héritier du très aristotélicien trosne royal
confesses-tu sincèrement tout cela?

Snell dit :
euh... oui pour tout... sauf que le Prince était bâtard et donc pas héritier. Le reste est bon, oui.

Baron Sengir dit :
bien
comment te sens tu après tout cela?

Snell dit :
*prend uns inspiration et la relâche* Hmmm... soulagé.

Baron Sengir dit :
j'en suis heureux. certifies tu n'avoir rien caché, avant que je poursuive?

Snell dit :
je certifies ne point cacher d,autres péchés

Baron Sengir dit :
bon. entends moi à présent
l'amour sincère est chose à chérir. si tel amour est partagé et qu'il n'est question de vulgaire attirance animale, tel chez un rustre alençonnais *des paysans... pensa le blond* ou un toulousain en rut, péché de chair il y a certes, mais péché moindre...
je ne veux encourager au péché. mais s'il arrivait que... il y aurait plus grave. l'on pourrait dire que l'on pourrait passer l'éponge, si la chose ne s'ébruite et ne se dévoile au grand jour, sans honte ni pudeur
bien entendu, confession devra toujours estre faite un moment ou un autre, car mesme petit péché doit estre avoué, et nul doute qu'autres fautes seraient d'ici là à confesser
*toussote en songeant qu'il ne s'était lui mesme jamais confessé de sa vie avant d'estre curé...*

Snell dit :
*hoche la tête en écoutant*

Baron Sengir dit :
à présent, mon fils, sois pardonné des fautes que tu m'as avoué. le Très Haut a entendu ta confession, et rien de ce que tu as avoué ne pourra dès lors estre reproché lors de ton jugement après ta mort
j'espère que tu te sens plus léger

Snell dit :
Je me sens beaucoup mieux. Merci mon père.

Baron Sengir dit :
mais ce n'est encore fini

Snell dit :
oh

Baron Sengir dit :
la confession ne peut estre entière que si le pécheur effectue par suite pénitence

Snell dit :
très bien, j'accepte de faire pénitence. Je vous écoute.

Baron Sengir dit :
pour avoir été avide de titres et de pouvoir, négligé les bourguignons, je souhaite que tu fasses, de vive voix ou par affichage, amende honorable au peuple. dire ce que tu aurais pu faire de plus et affirmer te mettre au service du roy, de Dieu et de la Bourgogne

Snell dit :
Oh! Mais c'est fait. Lors de mon bilan de fin de mandat, j'ai avoué.
Bilan qui fut affiché devant tous.

Baron Sengir dit :
bien. je ne sais si j'en trouverai trace mais j'irai vérifier

Snell dit :
Je vais déclarer me mettre au service du Roy, de Dieu et de la Bourgogne.
je trouverai pour vous

Baron Sengir dit :
le merci

Snell dit :
comme quoi je regrettais déjà

Baron Sengir dit :
pour avoir à présent commis adultère, je t'enjoins à contacter famille de ta défunte, s'il en reste, afin de t'excuser de ton acte, d'avoir pris conscience du péché et d'en faire sincère repentance

Snell dit :
*s'étouffe*
Mais... mais la seule famille qu'il reste à Zaïna sont nos enfants!

Baron Sengir dit :
sont-ils encore jeunes?

Snell dit :
Des jumeaux frôlant la majorité et une fillette d'une douzaine d'années

Baron Sengir dit :
promesse devra estre faite de t'excuser à chaque enfant majeur pour l'acte envers leur mère, sans obligation de nommer avec qui

Snell dit :
Merci mon père. Je promet de le faire.

Baron Sengir dit :
petite parenthèse?

Snell dit :
Oui?

Baron Sengir dit :
j'ose escompter qu'ils sont élevés dans la religion aristotélicienne, et si pas encore baptisés, fortement poussés à lestre une fois adultes

Snell dit :
Eh bien, élevés dans un monastère, ils furent dans la religion aristotélicienne, oui... et pour le baptème, je les y encourage, oui.
La plus petite est baptisée.

Baron Sengir dit :
c'est agréable à savoir
pour avoir ressenti colère et mauvais sentiments envers le prince, tu te dois d'aller te recueillir sur sa tombe, s'il en a , ou à l'église, et de prier pour lui. tu devras de plus avouer à son épouse ce que tu ressentais à son égard
*leva un oeil pour voir réaction*

Snell dit :
oh... euh... bien... *grimace* Bien, je le ferai

Baron Sengir dit :
bien, je continue
puis je savoir en quel conflit tu brisa la tresve?

Snell dit :
Nevers était menacée par une armée de mercenaires
J'étais GÉnéral de Bourgogne à l'époque, et le duc ordonna de faucher tout le monde
je le fis malgré mes réserves
malgré mon jugement
mais tout de même
c'était une erreur
et je l'assume.
Le duc fut trouvé coupable aussi par l'inquisition.
Le duc Verbam

Baron Sengir dit :
je ne le connais. ce dut estre avant que j arrive en bourgogne

Snell dit :
ok
un con
oups, pardon mon père
cela m'a échappé

Baron Sengir dit :
eh bien, il semble que vous n'aimiez certain nombre de gens

Snell dit :
Certains le méritent... et pour certains c'est réciproque.... enfin...

Baron Sengir dit :
cela se passa à nevers, adoncques

Snell dit :
c'est exact

Baron Sengir dit :
pour avoir en confession précédente... omis certain péché, pour finaliser la pénitence due à la rupture de la tresve...
combien de morts te furent lors imputables?

Snell dit :
Trois

Baron Sengir dit :
en ce cas, je te demande de te rendre en église de nevers, de t'y flageller par trois fois pour expier ces fautes d'une seule pénitence, et d'y prier pour les asmes des morts ce jour
*pense qu'heureusement qu'une vingtaine ne fut tués ce jour*

Snell dit :
Très bien
*pense qu'on est loin des habits du pénitent de sa dernière confession*

Baron Sengir dit :
et enfin, la dernière pénitence
pour avoir péché par luxure avec armoria...

Snell dit :
*retient son souffle*

Baron Sengir dit :
tu te devras d'avoir chaste comportement pour une durée de trois mois à compter de ce jour. de plus, malgré tes doutes sur la possibilité de la chose, je veux que tu aies avec la princesse propos sincère et sérieux au sujet d'un mariage afin de cesser de vivre cet amour dans le péché. que la chose s'avère au final non faisable importe peu. c'est ton honnesteté en la chose, ta volonté, qui feront foy

Snell dit :
Trois mois?!?!

Baron Sengir dit :
*pense aux deux mois d'abstinence que doit respecter la princesse. le blond trouve intéressant de voir comment se passera le dernier mois où un seul sera tenu par la pénitence*
diantre oui! c'est bien la moindre des choses pour une luxure adultérine
si votre amour est profond et sincère ce ne devrait poser problème
le salut de votre asme et ne pas geler aux enfers pour l'éternité a un prix

Snell dit :
*soupire*
*est au courant de la pénitence d'Armoria et se demande bien pourquoi il a pire...*
Très bien, mon père.
Je ferai pénitence complète

Baron Sengir dit :
deux choses encore
*peut presque entendre le "encore?" mental*

Snell dit :
*grognement retenu*
Oui?

Baron Sengir dit :
il va sans dire que, où que vous soyiez, vous vous ferez haste d'assister à la messe dominicale, jusqu'à la fin de votre pénitence. au moins

Snell dit :
ah... euh oui... il va sans dire

Baron Sengir dit :
très bien. et enfin...
je compte sur vous pour que vos pénitences respectives soient respectées. n'oubliez que si vous péchiez, vous entraisneriez Armoria dans le vice. je sais ce qu'il en est pour elle, vous ne voudriez causer son envoi dans l'enfer lunaire, n'est ce pas?

Snell dit :
Je suis prêt à tout pour elle, mon père.

Baron Sengir dit :
formidable
je vous fais en ce cas confiance.

Snell dit :
*se retient de soupirer de soulagement que ce soit terminé*

Baron Sengir dit :
*ton grave*
n'oubliez que le Très Haut vous regarde. Il sait tout

Snell dit :
*grimace*
Oui, mon père
Merci

Baron Sengir dit :
bien. mon fils tu t'es dûment confessé. tu as entendu tes pénitences et les as acceptées. tu as été pardonné et lavé de tes fautes. tu peux partir à présent et effectuer pénitence. tes aveux resteront en ce confessionnal

Snell dit :
*se lève tranquillement, avec l'impression d'avoir été massacré... un peu comme lorsqu'il avait été terrassé par les Bretons à Rennes, mais en pire*